Bon, pour essayer de me rattraper, voici une nouvelle présentation Youtube ou vous pouvez admirer mon accent.
Il s'agit d'un enregistrement d'une présentation que j'ai donné hier soir dans le village de Montbrun-Bocage, où on m'a invité à parler pendant une journée sur la thème "La "démocratie" est-elle soluble dans la crise? (ou l'inverse". Voici l'affiche de la réunion...
J'ai bien expliqué que, contrairement à ce qui est marqué sur l'affiche, je ne suis pas du tout économiste! Merci aux organisateurs pour l'invitation. J'étais très heureux de pouvoir faire ma première vraie conférence publique sur l'économie. J'ai bien apprécié la possibilité de débattre avec les gens présents, ainsi qu'avec l'économiste François Morin, avec qui j'ai partagé le plateau.
votre idée paraît très intéressante, comment obliger la banque centrale de racheter la dette?
RépondreSupprimerpeut être vaudrait il convaincre les syndicats et organiser une grève général pour imposer cette solution et cela à l'échelle d'une parti de l'europe.
Bonjour,
RépondreSupprimerMerci pour vos éclairages et explications claires et compréhensibles.
Le seul point fragile dans cette idée me semble la motivation des opérateurs des marchés financiers de faire des transactions. Car contrairement à l'exemple du citoyen lambda, qui a un revenu (salaire) et des dépenses "incontournables", le trader recherche un profit dans ses transactions - alors de quel niveau sont-ils ? Comme les transactions se font très rapidement, on peut imaginer que le gain se chiffre à chaque fois en dixièmes voir centièmes de pourcents - ce qui donne quand même un revenu conséquent s'il s'agit montants importants qui sont déplacés.
Mais une taxe de 0,1 % du montant échangé serait alors éventuellement largement supérieure au bénéfice, et la transaction n'aura donc pas lieu - et aucune taxes ne sera générée...
La question est donc : connaît-on le pourcentage moyen de bénéfice réalisé sur chaque transaction financière effectuée par un opérateur "intéressé" ?
Cordialement
Alexander Bugel